Nouveau parrainage : c’est à vous de choisir entre les capybaras, takins dorés, alligators du Missisippi ou caracals
En cette année anniversaire, nous visons un cap symbolique : 45 parrainages pour les 45 ans du ZooParc de Beauval. Après les singes dorés, les ours, Lack, Obie et nos harfangs des neiges, les 5 derniers parrainages créés en 2025, nous vous proposons de choisir quel sera le 45e animal ou groupe d’animaux parrainable. Votez jusqu’au 11 septembre inclus sur nos réseaux sociaux, Facebook* et Instagram**, entre les groupes suivants : capybaras, takins dorés, alligators du Mississippi, caracals. Les résultats seront dévoilés dès le 12 septembre.
Parrainer un animal de Beauval : pourquoi et quels avantages ?
Parrainer un animal à Beauval, c’est tisser un lien unique avec l’un de nos pensionnaires tout en soutenant Beauval Nature dans ses actions de préservation de la biodiversité en France et dans le monde. Valable un an, le parrainage se décline en 7 formules (de 20 € à 1 000 €) et donne accès à de nombreux privilèges selon le niveau choisi : certificat personnalisé, cadeaux exclusifs, billets d’entrée ou ZooPass, visites guidées, rencontre avec votre filleul… sans oublier l’invitation à la Journée des Parrains, un moment fort placé sous le signe de la convivialité et de l’engagement.
Une quarantaine d’animaux emblématiques sont parrainables, dont Audrey, la panthère des neiges, Ines, la femelle panda roux, les groupes des girafes réticulées, des manchots de Humboldt, des otaries de Californie, des éléphants de Savane… ou encore celui des diables de Tasmanie. Alors, lequel deviendra votre filleul ? Et pourquoi pas plusieurs… car après tout, quand on aime, on ne compte pas !
Capybaras du ZooParc de Beauval
Un groupe de capybaras de 6 individus dont 2 petits nés en 2025
Au sein de la Pampa Sud-Américaine, les capybaras cohabitent harmonieusement avec plusieurs espèces dont les tapirs terrestres, maras et nandous.
Le groupe des capybaras est composé de 6 individus :
- Kiwi : mâle de 9 ans né le 19 janvier 2016 au zoo de Barcelone, arrivé à Beauval le 21 mai 2021
- Amann : femelle de 8 ans née le 17 octobre 2016 au ZooParc de Beauval
- Limpy : femelle de 2 ans née le 19 octobre 2022 au Dartmoor Zoological Park (Angleterre), arrivée à Beauval le 24 février 2025
- Sven : mâle de 1 an né le 1er août 2024 au ZooParc de Beauval
- Polochone : femelle de 7 mois née le 17 janvier 2025 au ZooParc de Beauval
- Nokk : mâle de 2 mois né le 2 juillet 2025 au ZooParc de Beauval
Le capybara, plus grand rongeur du monde, peut atteindre 66 kg. Doté d’un corps massif brun-rougeâtre et de pieds semi-palmés, il est parfaitement adapté à la vie semi-aquatique grâce à ses yeux, oreilles et narines situés en hauteur. L’espèce est classée en « Préoccupation mineure » sur la liste rouge de l’UICN. Son aire de répartition est très étendue et non fragmentée, et sa population globalement stable. Cependant, le nombre de capybaras a tendance à diminuer localement, principalement à cause de la chasse.
Hao et Daye, le couple de takins dorés du ZooParc de Beauval
Un couple de takins dorés, Hao et Daye, arrivés en mai 2024 à Beauval
Il y a un peu plus d’un an, nous souhaitions la bienvenue à Hao et Daye, un couple de takins dorés. En effet, ils ont rejoint le ZooParc de Beauval en mai 2024 : Hao, né en 2022 au zoo de Berlin (Allemagne) et Daye, née la même année au zoo de Liberec (République tchèque). Un couple reproducteur installé sur Les Hauteurs de Chine dont on espère des petits et qui constitue un véritable espoir pour la conservation de cette sous-espèce classée « En danger » par l’UICN.
Le takin doré, l’une des quatre sous-espèces de takin, se reconnaît à sa toison claire tirant sur le blond doré. Robuste et parfaitement adapté à la montagne, il dispose d’une peau qui sécrète une substance huileuse le protégeant l’humidité, d’un museau aux grands sinus pour réchauffer l’air froid, de larges sabots et de longs ergots pour grimper. Mâles et femelles portent des cornes recourbées, plus longues et imposantes chez les mâles, qui sont également plus massifs.
Gali et Love, le couple d’alligators du Mississippi du ZooParc de Beauval
Des alligators du Mississippi prénommés Gali et Love
Les alligators du Mississippi Gali et Love sont hébergés au sein du vivarium de la Serre des Chimpanzés et Orangs-Outans. Gali, le mâle, est arrivé à Beauval en 2011 en provenance de Terre de Dragons (anciennement La Planète des Crocodiles), parc zoologique à Civaux. Quant à la femelle, Love, elle est à Beauval depuis 2004, année de la rénovation et de l’agrandissement du vivarium sur une surface de 400 m².
L’alligator du Mississippi compte parmi les plus grands Crocodiliens au monde et figure parmi les espèces les plus imposantes d’Amérique. Les alligators ont été abondamment chassé au cours du 19e siècle pour leur chair, leurs œufs et leur peau, et ont disparu d’une grande partie de leur aire historique. La destruction de leur habitat a également contribué à leur déclin. L’espèce a été classée en danger en 1966, les efforts de préservation de son habitat et l’augmentation des populations font que les alligators ont reconquis une grande partie de leur aire. L’espèce est aujourd’hui classée en préoccupation mineure par l’UICN.
Caracal du ZooParc de Beauval
Les caracals Simba et Maxima, saisis chez des particuliers et recueillis par l’association Tonga Terre d’Accueil
Les 2 caracals sont présents à Beauval depuis 2023 dans le Bois des Fauves. Le mâle Simba (né le 30 octobre 2021) et la femelle Maxima (née le 1er mai 2021) ont été saisis chez des particuliers en France, où ils étaient détenus illégalement. Pris en charge par l’association Tonga Terre d’Accueil du zoo de Saint-Martin-la-Plaine, ils ont ensuite été confiés à Beauval en 2023 afin de leur garantir un avenir dans de meilleures conditions.
Le caracal occupe une large aire de répartition. Il est présent du nord au sud de l’Afrique, à l’exception du désert et des forêts tropicales humides. En Asie on le retrouve du Proche-Orient et de la péninsule arabique jusqu‘au nord-ouest de l’Inde et en Asie centrale. Une population est également présente en Europe, dans le sud de la Turquie. Le caracal est classé en « Préoccupation mineure » du fait de sa large aire de répartition et de son adaptabilité à la présence humaine.
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**Pour voter sur Instagram : choisissez le parrainage que vous préférez via un sondage disponible uniquement sur smartphone. Aucun vote en commentaire ne sera pris en compte.
